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"Je ne vous décevrai pas..."

Herrmann
La Tribune de Genève

Oppositions actives et force d'inertie

De la mi-2004 à juin 2007, les médias généralistes, notamment la télévision et la radio, ont servi de relais de propagande à Nicolas Sarkozy (insécurité, émeutes, islamisme) soutenu par de puissants réseaux d'influence aussi bien français qu'étrangers, notamment de l'armement et des télécommunications [Lagardère (Paris Match, Europe 1, Edition Calmann-Lévy, Edition Fayard, Edition Grasset), Dassault (détenant 70 titres de la presse française dont Le Figaro, La Voix du Nord, L'Expansion], du BTP et des télécommunications [Bouygues (TF1, LCI)], Bolloré (Havas, 6e groupe de communication mondial, représentant l'essentiel de la presse distribuée gratuitement : Direct Soir, Matin Plus].

Les équipes de Nicolas Sarkozy ont eu recours à des méthodes de manipulations médiatiques qui n'avaient jamais été utilisées dans notre pays, des stratégies de campagne de « spin doctors » nous faisant penser à certaines républiques bananières où les médias font la pluie et le beau temps dans les urnes.

Il aura fallu attendre les après-législatives pour que ces réseaux de pressions tendant à orienter le vote des électeurs se relâchent et que les médias puissent progressivement recommencer à faire leurs travails, après 3 ans d’orientations, de censure et d’auto-censure. En moins de 3 mois, Nicolas Sarkozy s’est alors effondré dans les sondages.

Pour la première fois dans notre pays, nous avons assisté à un véritable viol d’un des principes fondamentaux de la démocratie : l’équité de l’accès à l’information.
Ces masses dociles, à qui parlait la formule : "la France qui se lève tôt" se sont révélés les premières victimes de la politique économique menait par le gouvernement Fillon.

Nous appelons, comme détaillé ci-dessous, à lutter contre l'application des projets de Nicolas Sarkozy et du gouvernement Fillon, attentatoires aux libertés publiques et individuelles et aux fondamentaux sociaux nés du consensus national de la Libération.

Film pirate : démagogie et gros dérapage de Nicolas Sarkozy auprès de jeunes membres d'associations de banlieues reçus place Bauveau


Uploadé par : sarkophage

Proposé par : Eric, Lille

Comment lutter contre la politique incarnée par Nicolas SARKOZY ?

REJOIGNEZ LE MOUVEMENT :

  1. En procédant à du Google Bombing (mot clé : anti-sarkozy) [voir "Bombardement Google" sur Wikipédia].
  2. En laissant des commentaires avec un lien et une phrase de présentation accrocheuse (ex : CE QU'ON VOUS CACHE SUR NICOLAS SARKOZY : http://opposantspolitiques.blogspot.com/) dans des sites très visités à tendances politiques : sites de journaux, de télévisions, de radios, de blogs politiques, mais aussi dans les rubriques politiques des sites de vidéos tel que Dailymotion ou Youtube et le cas échéant dans votre propre site ou blog même s'ils ne sont pas à caractère politiques.
  3. En informant vos amis et connaissances sur la finalité des projets peu ou pas connus de Nicolas Sarkozy, notamment exposés ici.
  4. En nous proposant des articles libres de droits (par exemple sous license GNU), des vidéos (disponibles sur des plateformes de partage tel que Dailymotion ou Youtube) ou des photos libres d'exploitation.
  5. En nous proposant vos propres articles que nous publierons le cas échéant.
  6. En contribuant à la diffusion de l'information en recherchant des informations "sourçables" et à caractères encyclopédiques à insérer dans des projets d'encyclopédies collaboratives tel que Wikipédia.
  7. En signant des pétitions sur des sujets allant à l'encontre de l'action du gouvernement.
  8. En intégrant une ou des organisations du contre-pouvoir : associations anti-Sarkozy, partis politiques de l'opposition, syndicats, etc.
  9. En agissant au niveau administratif et juridique pour lutter contre l'action du gouvernement. Exemple : résistance à la généralisation des ordinateurs de votes, initié par Nicolas Sarkozy, qui sont facilement piratables, très coûteux (contrairement à ce qui est avancé par ses partisans), et qui ne permettent pas d'effectuer de recomptage (en savoir plus sur les ordinateurs de votes : http://interstices.info/display.jsp?id=c_22450
  10. En participant aux manifestations contre le gouvernement ayant lieu dans votre ville.

Si vous pensez effectuer plusieurs de ses actions dans les mois à venir, vous pouvez nous contactez à l'adresse suivante : OpposantsPolitiques@Gmail.com en nous indiquant votre pseudonyme, la ville où vous résidez ou dont vous êtes à proximité et si vous le voulez bien, vos tendances politiques, votre age, et quelques mots pour exposer vos motivations.

REJOIGNEZ-NOUS !

France : Le Délabrement

Franco Juri
Paru dans le quodidien Dnevnik

La France dans le mur.


Uploadé par : perso-antisarko

Proposé par : A. H., Genève

Origine et enfance de Nicolas SARKOZY

Nicolas Sarkozy est le fils d'un immigré hongrois, Pál Sárközy de Nagybocsa (en hongrois nagybocsai Sárközy Pál) né à Budapest, en 1928, dans une famille de l'aristocratie hongroise, possédant des terres et un château à Alattyán et un domaine comportant 200 paysans, à 100 km de la capitale. Les armoiries de famille sont « un loup orné d’un cimeterre ». À l'arrivée de l'Armée rouge en 1944, la famille est contrainte à l'exil. Après de nombreuses péripéties à travers l'Autriche et l'Allemagne, Pál Sárközy rencontre un recruteur de la Légion étrangère à Baden-Baden. Il s'engage pour cinq ans et fait ses classes en Algérie à Sidi-Bel-Abbès. Il est cependant déclaré inapte au départ pour l'Indochine, puis démobilisé à Marseille en 1948. Son nom est alors francisé en Paul Sarközy de Nagy-Bocsa. Devenu publicitaire, il rencontre en 1949 Andrée Mallah, qu'il épouse. Cette dernière, fille d'un médecin du XVIIe arrondissement de Paris, juif séfarade de Salonique, est alors étudiante en droit.
Nicolas Sarkozy naît en 1955 ; il est catholique baptisé. Il a deux frères : Guillaume, né en 1952, futur patron dans le textile (un temps vice-président du MEDEF) et François, né en 1957, qui devient pédiatre puis chercheur en biologie. Lorsque Paul Sarkozy quitte le domicile conjugal en 1959, sa femme reprend ses études pour élever ses enfants. Elle devient avocate au barreau de Nanterre ; elle plaide dans l'affaire Villarceaux. Paul Sarkozy se marie encore trois fois. De son deuxième mariage, il a deux autres enfants : Caroline et [Pierre-]Olivier, banquier à New York.
Nicolas Sarkozy passe son enfance dans le XVIIe arrondissement de Paris, puis à Neuilly-sur-Seine.

Copyright : Ce texte est disponible sous les termes de la licence de documentation libre GNU (GFDL).

Proposé par : Alexandre S., Orléans